Anacardium – le remède qui a vaincu la sclérose en plaques

Le cas d’une belle jeune femme de 20 ans. Bien qu’elle ait grandi dans une famille aimante, son état de santé était terrible.

Elle souffrait de profondes dépressions depuis la 4e classe de l’école primaire. Bien qu’elle n’ait aucune raison pour cela, elle pleurait chaque nuit, allongée dans son lit, regardant le ciel avec le souhait de mourir et d’aller chez sa grand-mère, qui est morte avant sa naissance. La dépression est un problème familial. Sa grand-mère souffrait de schizophrénie et a été privée de sa capacité juridique lorsque sa mère avait 10 ans.

Alors qu’elle était en 9ème classe de l’école primaire, elle a subi une amygdalite dure, puis une grippe et après cela, elle ne pouvait plus marcher, ne pouvait plus coordonner ses mouvements et on lui a diagnostiqué une sclérose en plaques. Le médecin l’a mise sous corticostéroïdes.

Il y a deux ans, son grand-père est décédé et après sa mort, les crises de sclérose en plaques se sont aggravées. Elle a utilisé des antidépresseurs pendant 3 ans, mais ses humeurs mélancoliques, ses pleurs et son anxiété étaient toujours présents. Elle a toujours refoulé ses problèmes, les analysant dans son esprit et se repliant sur elle-même. Quand c’était trop pour elle, de temps en temps, elle explosait en larmes de frustration, avec le sentiment d’être sans valeur, avec une dépression nerveuse qui la poussait à se renfermer encore plus, à pleurer, sans pouvoir se concentrer sur l’apprentissage ou même compter 2+2, avec le souhait de ne voir personne. Cet état durait généralement de 1 à 3 mois.

Elle souffrait également de fortes migraines. Elle avait mal à la tête de novembre à avril sans un seul arrêt. Elle restait à la maison, ne pouvait pas aller à l’école. Elle ressentait une douleur pressante comme celle d’une bulle grossissant à l’arrière de son crâne. Bien que la douleur était bien pire lorsqu’elle étudiait, elle a obtenu son diplôme avec mention, démontrant ainsi son besoin extensif d’être parfaite en toute situation.

Son perfectionnisme a conduit à l’accumulation de stress en elle, qui, avec sa peur de l’échec, de ne pas être à 100%, a provoqué une nouvelle crise de SEP, aggravant ainsi son état psychique, la conduisant plus profondément dans la dépression, dans un cercle vicieux.

Elle avait l’impression d’avoir deux personnalités – l’une disant « tu as une maladie grave, ne fais pas d’effort », l’autre ambitieuse et de besoin d’être parfaite en tout point.

Elle dormait mal, se réveillant vers 2.30, au milieu de la nuit, avec de l’anxiété, une pression sur sa poitrine, des palpitations, ayant une boule dans la gorge.

Depuis l’enfance, elle avait de temps en temps des visions étranges de fantômes, parlait avec sa grand-mère décédée, ou voyait une silhouette sombre dans un coin de sa chambre qui l’observait. Une fois, elle a été effrayée par une tête de la belle-mère de sa mère apparaissant à sa fenêtre, puis le lendemain, sa famille a appris qu’elle était morte. Elle percevait ces apparitions comme si elles existaient dans la réalité. Elle vivait dans une peur énorme qu’elles apparaissent à nouveau. La nuit, elle avait besoin que toutes les lumières restent allumées. Elle n’arrivait pas à s’endormir alors que tout le monde dormait à la maison. Elle avait une peur bleue.

Le sujet d’actualité pour elle était l’auto-reproche accompagné de pleurs et s’enfonçant dans la dépression.

Quand elle savait quelle était la cause de sa mauvaise humeur, la musique l’aidait. Mais lorsqu’elle était inattendue, elle n’était pas capable de s’aider et elle se noyait dans la dépression.

Dans ses rêves, elle se voyait couchée dans un cercueil.

Sa mère a souffert de dépressions pendant de nombreuses années aussi.

Repertorisation:

Le premier remède que je lui ai donné était Natrium muriaticum 200.

Suivi après un mois:

Il n’y avait aucun changement après Natrium muriaticum. L’anxiété et la pression sur sa poitrine étaient toujours présentes, la peur du noir s’aggravait. Quand elle était seule à la maison, elle avait la forte impression que quelqu’un était là. Même quand elle allait bien psychiquement, elle avait l’impression de ne pas pouvoir s’en empêcher et son corps pleurait tout seul. Elle avait l’impression d’être emprisonnée dans son corps. Elle avait une peur énorme mais elle ne savait pas de quoi. Elle faisait des cauchemars sur des serpents.

Le remède a été changé, je lui ai donné Anacardium 200.

Suivi après un mois :

Son sommeil était bien meilleur. Elle n’avait pas de cauchemars, ses rêves étaient pleins de joie.

Son psychisme était aussi beaucoup mieux. Elle n’avait pas d’anxiété, moins de peurs, elle était généralement plus calme. Elle n’avait un sentiment mélancolique que lorsque le temps était mauvais.

Elle a traversé une petite crise de SEP, ressentant des picotements et des fourmillements dans sa jambe gauche qui se sont transformés en un engourdissement de sa jambe jusqu’au mollet. Cela s’est calmé en 3 jours. Dans le passé, ses crises duraient jusqu’à 6 mois.

Suivi après 2 mois :

Elle est toujours calme, heureuse, dort bien.

Il n’y a plus eu de crises de SEP.

Elle a répété le remède deux fois, toujours après une dispute avec son frère aîné. Cela l’a aidé à se calmer.

Elle a commencé à travailler dans l’entreprise de son père.

Elle ne s’est plainte que des injections de Copaxone que son médecin lui a prescrites pour la SEP.

Suivi après 3 mois:

La dernière semaine, elle dormait mal, faisant des rêves étranges sur sa grand-mère. C’était en rapport avec la résidence temporaire de son frère aîné dans leur maison, qui est une personne difficile qui provoque des querelles entre tous les membres de sa famille. Elle déteste les conflits, mais maintenant elle est capable de lui tenir tête.

Un kyste sur son ovaire droit a grossi et le médecin a suggéré une opération.

Elle ne reçoit plus d’injection de Copraxone et elle se sent bien.

Sa mémoire s’est améliorée. Elle aime son travail, a assez d’énergie.

Je lui ai donné Anacardium 1M.

Suivi après 4 mois (1 mois après Anac 1M):

Elle a beaucoup d’énergie. Elle est capable de surmonter ses conflits avec son frère avec une grande facilité. Elle est très active, elle travaille 8 heures par jour et après elle s’exerce dans un centre de fitness. Elle aime beaucoup cela. Elle mène une vie absolument normale. Elle a l’impression de s’être réveillée d’un cauchemar de quatre ans.

Elle a subi une opération du kyste. Elle a répété Anac 1M après l’opération et 5 jours plus tard, elle skiait sans aucune difficulté.

Elle n’a pas de craintes, est de bonne humeur, profite de sa vie.

Suivi après 5 mois (2 mois après Anac 1M):

Elle a rompu avec son petit ami. Ils sortaient ensemble depuis 4 ans, mais maintenant elle ne voulait plus tolérer ses accès de colère. Elle se sent beaucoup mieux maintenant. Elle est pleine d’énergie, apprécie la vie, la nature. Elle se sent libre et veut faire le tour du monde. Toutes ses peurs ont disparu. Elle ne consomme aucune drogue, se contente parfois de répéter Anac 1M (la dernière fois étant après sa séparation avec son petit ami).

Suivi après 6 mois (3 mois après Anac 1M):

Elle a répété Anac 1M une fois après avoir été surmenée dans son travail. Le lendemain, elle était plus calme, dormait bien et se sentait bien. Elle ne fait plus de cauchemars, dort bien, n’a pas de peurs. Elle travaille 9 heures par jour et fait ensuite 2 heures d’exercice dans un centre de fitness. Son médecin n’en revenait pas de n’avoir trouvé aucun signe de sclérose en plaques chez elle. Il en a été de même pour son psychiatre qui a traité ses dépressions, ses peurs et ses angoisses. Elle a complètement arrêté de prendre des médicaments. Elle est très heureuse et profite profondément de tout ce qu’elle aime et qu’elle ne pouvait pas faire pendant 4 ans.

Nous ne pouvions que supposer ce qui se passerait avec cette jeune femme sans l’homéopathie. Je suis heureux d’avoir une tranche de l’action et de regarder de près ce « miracle de la dose minimale », qui a initié un changement complet sur tous les niveaux de son être, transition de la maladie à la santé.

Nous sommes capables de dissiper les peurs, les douleurs, les maladies des gens. C’est formidable, n’est-ce pas ? Les gens sains et heureux répandent autour d’eux la paix de l’esprit, l’aisance du cœur et remplissent le monde de lumière. En tant qu’homéopathes, nous avons les outils pour améliorer le monde de cette façon, de l’intérieur. Faisons-le !

Petra Cihlářová

www.homeopatie-praha.com