Le dragon de Komodo du zoo est si féroce qu’il n’a pas besoin de partenaire pour avoir des bébés, un test ADN le confirme

Les bébés Onyx, Jasper et Flint n’ont qu’un seul parent biologique – leur maman Charlie

Pas besoin de test de paternité, ce dragon de Komodo a donné la vie au monde tout seul.

Vendredi, le zoo de Chattanooga dans le Tennessee a partagé des photos de son dragon de Komodo Charlie et de ses trois bébés de 7 mois, Onyx, Jasper et Flint, offrant une mise à jour sur la famille de lézards. Sur la base de travaux de laboratoire, les membres du personnel ont découvert que Charlie a conçu les triplés en solo.

S’amusant un peu avec les résultats, le zoo a canalisé de façon hilarante le Maury Povich Show dans son annonce aux adeptes sur Instagram.

« Les résultats de l’ADN de notre dragon de Komodo en éclosion sont arrivés ! *Voix de Maury* Kadal, tu n’es PAS le père ! », a commencé le zoo dans sa légende.

Le zoo a expliqué que lorsque les éclosions sont arrivées le 4 août, ils ne savaient pas si la nouvelle maman s’était reproduite avec l’aide du mâle avec lequel elle était appariée, Kadal, ou par elle-même, avec un processus appelé parthénogenèse. L’analyse sanguine a prouvé qu’il s’agissait de cette dernière.

« Bien que Kadal et Charlie aient été placés ensemble dans l’espoir de se reproduire, notre personnel est très enthousiaste à l’idée d’assister à cette œuvre monumentale de la nature et de faire partie d’un programme de conservation aussi important », a ajouté le zoo.

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Le zoo de Chattanooga – qui a mentionné que les petits dragons de Komodo « grandissent rapidement et se portent très bien » – a expliqué que la parthénogenèse est un « type de reproduction où la femelle produit une progéniture sans fécondation masculine. »

« Dans la nature, les dragons de Komodo vivent principalement isolés et deviennent souvent violents lorsqu’on les approche, ce qui a permis à ces animaux d’évoluer pour se reproduire à la fois sexuellement et parthénogénétiquement », a précisé le zoo.

Les autres animaux connus pour être capables de se reproduire de manière parthénogénétique, selon BBC News, sont certains insectes-bâtons, des serpents et des poissons-scies.

« Elle a en quelque sorte répliqué son ADN et fait potentiellement – les clones sont un peu différents – mais ils sont tous 100 % à elle et à peu près identiques génétiquement à elle », a expliqué au Times Free Press un employé du zoo de Chattanooga à propos de la maternité indépendante de Charlie.

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