The Hulk : 5 Best Versions Of Bruce Banner (& The 5 Worst)

Le goût litmus de tout super-héros populaire est instantanément reconnaissable ils sont. Spider-Man, Superman, Batman, tous se traduisent parfaitement et simplement hors de la page ou de l’écran. Il en va de même pour l’Incroyable Hulk, et comme ces autres personnages, Hulk présente un autre aspect clé d’un personnage iconique : la malléabilité.

C’est le destin de tout personnage majeur de bande dessinée d’être interprété de mille façons différentes par les écrivains, les artistes, les réalisateurs et les acteurs ou actrices. Avec un grand succès vient une grande variation et il y en a eu une tonne avec Hulk. Mais tout n’a pas été parfait. Voici les cinq meilleures versions de Bruce Banner et les cinq pires.

10 Pire : Incredible Hulk Ang Lee

Hulk (2003)

Le réalisateur Ang Lee prend beaucoup de risques dans son long métrage de 2003, et c’est quelque chose que les fans de bandes dessinées peuvent et doivent admirer, surtout à une époque où les adaptations de bandes dessinées sont si nombreuses. Malheureusement, très peu de ce que Lee a entrepris de faire a fonctionné. Hulk est entièrement réalisé en images de synthèse, mais c’est suffisamment tôt dans l’histoire de cette forme d’art pour que le résultat final laisse les fans sur leur faim. Une histoire pas si géniale que ça et une performance fade d’Eric Bana en font l’une des pires versions de Bruce Banner.

9 Best : Maestro

Le Maestro est l’idée du scénariste Peter David, qui a eu un run épique sur l’Incroyable Hulk à la fin des années 80 et au début des années 90. David a expérimenté largement et avec succès la personnalité de Hulk, ses pouvoirs et son avenir. Le Maestro est peut-être la première version du personnage qui va au-delà de ce qu’il est et de ce qu’il pourrait être. Maestro dirige un futur alternatif d’une main de fer, un tyran colérique et surpuissant qui présente l’intelligence de Banner et la puissance de Hulk.

8 Pire : Hulk 2099

Les choses se sont un peu emballées dans les années 90. L’initiative 2099 de Marvel était intéressante, certes, mais l’exécution n’était pas toujours au rendez-vous. C’est le cas de Hulk. Cent ans plus tard, une secte d’adorateurs de Hulk – les Chevaliers de Banner (sans rapport avec les Chevaliers de Ren) – cherche à ramener leur grand dieu vert, et leur solution consiste à exposer un certain John Eisenhart à des radiations gamma. Eisenhart est un producteur de cinéma, un peu con, et tellement inintéressant comme Hulk que la série a duré dix numéros.

7 Best : Smart Hulk (Avengers Endgame)

Smart Hulk Endgame Featured

L’interprétation de Bruce Banner par Mark Ruffalo dans les films du MCU est sans conteste la meilleure de toutes les adaptations du matériau source. Ruffalo met en valeur l’intelligence maladroite mais magnétique du personnage et son inadéquation avec la créature qui est en lui.

La meilleure version de ce personnage en évolution est cependant le Hulk intelligent d’Avengers : Endgame. Enfin, ce Hulk combine la force caractéristique du personnage mais aussi son charme et son humanité. Le passage le plus drôle du film pourrait appartenir à Smart Hulk, qui essaie d’obtenir un autographe d’Ant-Man.

6 Pire : Nerd Hulk

Le charme du geek sexy qu’incarne Ruffalo fait partie de l’attrait du personnage du MCU, mais les comics sont loin d’avoir diabolisé quiconque en tant que geek ou nerd. Malheureusement, l’une des versions Ultimate Comics de Hulk a fini par le faire. Le Nerd Hulk était essentiellement Smart Hulk, mais un peu plus une blague. Nerd Hulk est un clone de Banner, avec toute son intelligence mais sans la rage qui est synonyme de Hulk. De toute évidence, cela a fait de lui un faible et un lâche, la rage étant 100% nécessaire pour être un héros, et finalement, Nerd Hulk devient un vampire. Et puis meurt. Ok, alors.

5 Best : Planet Hulk

Quelques versions de Hulk riffent sur le concept de lui comme un dirigeant ou un despote. Avec son énorme force et l’intelligence de Banner, c’est facile à vendre. Quelqu’un avec autant de pouvoir physique et mental ferait un grand leader ou un terrible leader. L’une des meilleures, si ce n’est la meilleure, interprétations de cette idée vient de l’histoire de Planet Hulk. Les Avengers exilent Hulk dans l’espace pour avoir été un peu trop Hulk et finit par devenir un gladiateur et finalement un dirigeant sur le monde extraterrestre de Sakaar.

4 Pire : War (Cavalier de l’Apocalypse)

Une prise moins réussie de ce trope est lorsque Bruce Banner devient War, l’un des quatre cavaliers de l’Apocalypse. Sur le papier, l’idée est facile à vendre. L’un des êtres les plus puissants de l’univers Marvel en tant que War ? Vendu. Dans l’exécution, pas tant que ça. Hulk vend son âme à Apocalypse en échange de se débarrasser de la voix lancinante de son père décédé. Plutôt que de se lancer dans un déchaînement apocalyptique qui aurait imprimé cette histoire dans la légende, Hulk se contente de poursuivre Juggernaut et ils se battent. Encore.

3 Best : Incredible Hulk TV

Bill-Bixby-and-Lou-Ferrigno-in-The-Incredible-Hulk

Bien que la technologie n’était vraiment pas là en 1977 pour rendre justice à Hulk, Bill Bixby nous a donné un Bruce Banner exceptionnel – pardon, David Banner – et Lou Ferrigno a donné à toute une génération un Hulk à craindre et à admirer.

La série a rompu avec les bandes dessinées à bien des égards, pas seulement le nom de Banner, en esquivant les méchants et les connexions à l’univers Marvel plus large, mais elle a fourni une étude approfondie du personnage. La série télévisée a livré la meilleure représentation à l’écran jusqu’à l’arrivée de Mark Ruffalo.

2 Pire : Old Man Hulk

Les versions futures et maléfiques de Hulk sont cool. Mais comme pour tout, il y a des limites. Futur alternatif de l’intrigue Old Man Logan, Old Man Hulk est une projection cauchemardesque et grotesque de son moi actuel. Banner est devenu fou à cause des radiations gamma, et lui et sa cousine – oui, sa cousine – Jennifer Walters sont devenus les parents de plusieurs petits Hulklings. Ensemble, ils règnent sur l’ouest de l’Amérique et, en matière de destins, c’est l’un des pires absolus.

1 Best : Immortal Hulk

Hulk prouve, encore et encore, sa flexibilité en tant que personnage. Son origine découle de la peur de la bombe atomique, et les peurs modernes informent ses itérations successives au fil des ans. L’actuel et remarquable Immortal Hulk creuse profondément dans les aspects d’horreur du personnage pour continuer à tordre la conception même de qui et de ce qu’est Bruce Banner. Un héros ? Un méchant ? Les deux ? Certaines de ces questions ne se posent peut-être même pas. Ce dont les lecteurs peuvent être sûrs, c’est qu’il s’agit d’une prise de position audacieuse et réfléchie sur le personnage qui offre une nouvelle perspective.